CHIFFRES DE L'ANNÉE
COMPAGNIES
AUTRES
Commandant Orly: FLORENTIN
Orly devient un aérodrome civil
Le ministre de l'Air, le général Denain, confirme par lettre, le statut d'aérodrome civil d'Orly.
12ème fête aérienne.
Collision en plein vol entre un appareil militaire piloté par René Castenada et un appareil civil avec à son bord Wladimir Gourine et Nicolas Botscharoff, ces deux derniers trouvant la mort. DETAILS
Le capitaine Paul Serge accompagné de son moniteur Lécrivain se tue lors d'une manœuvre de vrille. Lécrivain est éjecté de l'avion, un MS.230, et n'est que blessé grâce à l'ouverture automatique de son parachute. L'avion s'écrase tuant Paul Serge. DETAILS
Les avions du Club Roland-Garros sont transférés à Buc suite à l'arrivée des militaires. Le bâtiment est réquisitionné par l'armée. DETAILS
Le MS.230 numéro 96 piloté par le Lieutenant de réserve Gastou et le Lieutenant observateur Bourgouin s'écrase près de Villeneuve-Le-Roi. Le pilote est indemne et l'observateur blessé. DETAILS
4EME COUPE MICHELIN / 3EME COMPÉTITION
Les tentatives : 11/09 (pilote Durandeau), 02/10 (pilotes Arnoux, Durandeau), 06/10 (pilote Arnoux), 27/10 (Châteaubrun). Le vainqueur est Maurice Arnoux.
Le pilote Hérissey est arrêté à Orly en train de placer un paquet de tract dans son avion. Dans l'après-midi, un avion avait lancé des tracts de la Fédération des Contribuables sur Paris.
L'aviateur Isselmann et le matelot-pilote Marchand entrent en collision. Les deux sont blessés. DETAILS
George Pruvot et Jean Olivier posent leur avion brutalement sur la ligne de chemin de fer près d'Orly. DETAILS
2EME COUPE ZENITH / 7EME COMPÉTITION
Les tentatives: 11/09 (pilote Arnoux), -/09 (pilote Arnoux ou Boris), 26/09 (pilote Boris). Le vainqueur est Maurice Arnoux.
Création de l'école d'aviation Maryse Bastié Aviation. DETAILS
Création d'Air Club basé à Orly. DETAILS
Création de l'école GAMA (Groupe Aéronautique du Ministère de l'Air) basée à Orly. DETAILS
FÊTE AÉRIENNE DE L'UPCF
Vers 17h, un Nieuport 62 appartenant à la division d'entraînement d'Orly, a fait une chute dans un champ situé sur la commune d'Orly, à 2 kilomètres environ au nord de l'aérodrome. L'adjudant Tournier est tué. DETAILS
Un avion militaire de la Marine s'écrase à Evry tuant son pilote Moal est tué et son mécanicien Maheut blessé. DETAILS
L'école Mauboussin devient le Centre Ecole de tourisme aérien basé à Orly. DETAILS
4EME COUPE MICHELIN / 4EME COMPÉTITION
Les tentatives: 14/08 (pilote Arnoux). Le vainqueur est Maurice Arnoux.
2EME COUPE ZENITH / 8EME COMPÉTITION
Les tentatives : 05/09 (pilote Bellon), 11/09 (pilote Boris), 23/09 (pilote Arnoux). Le vainqueur est Maurice Arnoux.
Création d'une Section Autogyre. DETAILS
Création de la section d'aviation populaire de l'aéro-club de la préfecture de police. DETAILS
Départ de la D.E.A. DETAILS
L'aviateur Armel heurte un mat de signalisation et se crashe. Il est indemne et sa passagère blessée. DETAILS
L'EGAM devient l'EGAN Entrepôt Général de l'Aéronautique Navale. DETAILS
L'aviateur Georges Catois et son passager Marcel Fabre atterrissent violemment sur un terrain d'Athis-Mons blessant grièvement les 2 personnes. DETAILS
FÊTE AÉRIENNE DE L'UPCF
Vers 18h30, l'appareil au moment de l'atterrissage heurte une ligne électrique. Une aile se détache et l'avion s'écrase et prend feu. Le pilote américain, Mille Lorenzo, n'est que légèrement blessé. DETAILS
RALLYE AÉRIEN NATIONAL ET D'OUTRE-MER DE L'EXPOSITION UNIVERSELLE
CHALLENGE DES AVIONS SANITAIRES
Entraînement des Vampire de l'escadrille GC 1/7 pour le défilé aérien de la fête nationale du 14.
Un avion piloté par Raymond Degutter transportant Mlle Georgette Rousseau pour un baptême de l'air, s'est écrasé à Longjumeau blessant sérieusement les 2 occupants. DETAILS
2EME COUPE ZENITH / 9EME COMPÉTITION
Les tentatives: 24/09 (pilote Arnoux). Le vainqueur est Maurice Arnoux qui devient aussi le vainqueur définitif de cette 2ème coupe en l'ayant remportée 3 fois.
Accident d'un avion piloté par le Sergent Garant et Berry. DETAILS
L'aviateur Maurice Arnoux bat le record d'altitude pour avions légers de 6 litres de cylindrée avec 7 000 mètres.
Le ministre de l'Air, Pierre Cot, passe en revue les équipages ayant participé aux manœuvres aériennes d'outre-mer. 56 avions sont alignés sur le terrain. Ils devaient rejoindre Le Bourget en survolant Paris mais à cause de la neige et du givre, ils restent à Orly.
Record d'altitude pour avions monoplace de 6 litres établi par André Japy sur Caudron-Simoun à 5268 mètres et à 5118 mètres sur multiplaces.
Départ de la Section d'Autogyres. DETAILS
Orly compte 16 écoles et clubs de pilotages. Ces dernières organisent de nombreuses fêtes et meetings.
3EME COUPE ZENITH / 1ERE COMPÉTITION
Les tentatives: 27/08 (pilote Arnoux), 03/12 (pilote Lemée). Le vainqueur est Maurice Arnoux.
Le prix de la 1ère catégorie n'ayant pas eu de gagnant, il est remis en jeu sous le nom de "prix Zenith" et remporté par Paul Lemée.
Alors qu'il survolait à une centaine de mètres l'aérodrome d'Orly, un avion piloté par M. Laromiguière-Lafont s'est abattu. L'aviateur et sa femme ont été blessés assez grièvement. DETAILS
FÊTE DE L'AÉRO-CLUB DU CINÉMA
FÊTE AÉRIENNE DE L'UPCF
Création de l'aéro-club des transports basé à Orly. DETAILS
CONCOURS DES JEUNES BREVETÉS
CONGRES DE L'AVIATION DU TOURISME
L'aviateur André Delafond se tue lors d'un vol de démonstration. DETAILS
CONCOURS DES JEUNES BREVETÉS
Les 4 batteries de 90 mm CA (contre avions) de la 4ème batterie mobile de défense antiaérienne de la Marine, présentes en août à Orly, sont positionnées en bordure du terrain dans le cadre de la défense anti-aérienne de Paris (les batteries 90 sont les seules à tirer efficacement sur des avions à haute altitude). L'ensemble des batteries (1ère Charenton, 2ème Argenteuil, 3ème Le Bourget) est placé sous le commandement du capitaine des vaisseau Lemonnier dont le poste de commandement est à Orly.
Le Bristol Blenheim L1246 de la RAF atterrit à Orly après avoir été touché par un Bf.109 allemand. A l'atterrissage, le train avant casse. DETAILS
Le S.L.E. fusionne avec le S.R.C. pour donner le S.C.L.E. DETAILS
Les avions de la DALAC (Division des Avions de Liaison de l'Administration Centrale) arrivent à Orly. DETAILS
Le Bristol Blenheim L1246 de la Royal Air Force ayant à son bord le pilote, le radio et un observateur, venait de quitter Orly lorsqu'il est tombé dans la Seine à Villeneuve-Saint-Georges. Le corps de l'aviateur a été repêché mais ceux des 2 passagers n'ont pas été retrouvés. DETAILS
Arrivée de l'escadrille de l'Aéronavale 10-E. DETAILS
Arrivée de l'escadrille de chasse AC-3. DETAILS
A bord d'un Loire-Nieuport LN-401 (s/n 3) de l'AB2, le second maître Alexis Lansonneur se tue. DETAILS
CHIFFRES DE L'ANNÉE
COMPAGNIES
AUTRES
Orly capturé par les allemands
Départ de l'escadrille d'exploration 10-E après sa formation. DETAILS
Un train de soldat en permission est percuté par un autre train. 7 soldats sont blessés.
Départ de l'escadrille aéronavale AC-3. DETAILS
Arrivée de l'escadrille de bombardement en piqué AB-4. DETAILS
Arrivée de l'escadrille B. DETAILS
Arrivée du groupe de reconnaissance GR II/33 et du GR II/55. DETAILS
La patrouille de chasse III/7 décolle pour protéger la gare de Creil. Elle tombe sur une colonne de bombardiers et de Messerschmitt Bf.109. Sur les 15 MS.406, 8 reviennent sans dommage, le Capitaine Lacombe (MS.406 L-828 codé-1 s/n 799) et le Lieutenant Dyma (MS.406 L-787 s/n 758) sont tués, le Sous-Lieutenant Martin ramène son avion 'haché' par les projectiles (MS.406 s/n 161), le Sous-Lieutenant Pilâtre-Jacquin est abattu mais récupéré (MS.406 s/N 901).
Prise en compte du premier avion Leo451M de l'escadrille de bombardement B.
Le capitaine Antoine de Saint-Exupéry s'envole d'Orly aux commandes d'un Bloch 174 n°22.
Équipage: Capitaine de Saint-Exupéry, pilote ; lieutenant Azambre, observateur ; 2ème classe Blondel, mitrailleur, sur Bloch 174 /nº 22.
Reconnaissance photographique à haute altitude.
Itinéraire: Orly, Tergnier, Péronne, Amiens, Abbeville, Orly. Mission photographique pleinement réussie, sans histoire. Durée : 2 h. 20. Altitude : 9.600 mètres.
Départ de l'escadrille B. DETAILS
La Luftwaffe effectue un vol de reconnaissance des aérodromes de Villeneuve-Orly, Vélizy-Villacoublay, Toussus-le-Noble, Beauvais et Dieppe afin de reporter les positions et les avions présents en vue de l'opération Paula du 03 juin.
Départ des groupes de reconnaissance GR II/33 et GR II/55. DETAILS
OPÉRATION PAULA
Les objectifs de l'opération ne sont pas clairement définis, s'agissant de détruire tous les aérodromes et usines de fabrication d'avions autour de Paris. Initialement prévue pour le 30 mai, l'opération est reportée au 3 juin en raison du mauvais temps. Elle est compromise par les services de renseignement britanniques qui ont réussi à décoder les messages de l'« invulnérable » machine Enigma et ont averti les Français des intentions allemandes en fournissant notamment l'ordre de bataille aérien allemand et la liste des aérodromes que les Allemands prévoient de bombarder. Face à cette menace, 120 avions français (contre 60 en temps normal) sont placés en alerte pour être prêts à décoller. Malgré cela, la Royal Air Force ne se déploya pas pour apporter un soutien aux Français.
A partir de 13h30, plusieurs vagues d'avions bombardent Orly.
Une quarantaine de Heinkel 111 allemands de la KG2 (Groupe II, Groupe III) bombardent Orly (cible codée FR 10.153; 20.11/16). Une 'centaine' d'avions civils sont épargnés car enfermés dans les hangars à dirigeable. 5 Dewoitine 520 sont détruits.
Témoignage d'un matelot de l'EGAM d'Orly Ernest MARTIN:
"Personnellement le 3 juin 1940 à 13H15 c’est moi, sur l’ordre du Capitaine de Vaisseau Bonnot qui se trouvait derrière moi, qui ai actionné la sirène d’alarme. La DAT nous annonçait environ 200 bombardiers se dirigeant vers nous. Avec le Commandant nous sommes descendus à l’abri souterrain où nombre d’Officiers arrivaient en même temps que les bombes commençaient à pleuvoir. La DCA, des 90 marine, tirait rageusement ; quand nous sommes remontés, le centre militaire, le centre radio étaient écroulés et d’un bloc sortait le bras de l’ingénieur Cochin. A la DCA un matelot nommé EVIN, de ce service était allongé mort près de la bordure du trottoir. Nous avons eu à déplorer la perte du LV LEROUX et plusieurs matelots dont le Sans Spécialité LOMACHE qui était de garde aux essences. Le terrain était labouré, cependant quelques jours plus tard le Jules Verne atterrissait (un miracle).
Les télégraphistes le QM ROGER et le matelot VALLERY étaient restés à leurs postes malgré l’intensité du bombardement et la voiture du Commandant qui brûlait sur le trottoir juste au-dessous, le QM ANDRAULT dans le centre radio était gravement blessé.
A partir du 3 juin 1940 l’étendue des destructions rendait tout travail sérieux impossible. Il fallut dégager les morts et envisager alors le repli sur Rochefort où le Capitaine de Frégate se trouvait déjà dans un vieil arsenal." (c) Ernest MARTIN via anciensmarins.fr
Quelques noms de militaires ou marins décédés : COCHIN Jean (ingénieur mécanicien, Aéronavale), EVIN (matelot), LE ROUX Noël (Lieutenant de vaisseau, commandant DCA Orly), MAILLE Joseph (quartier maitre DCA).
Les batteries de 90 mm d'Orly sont déplacés à Grignon (2,5 km au nord du terrain).
Le Farman NC223.4 F-ARIN "Jules Verne" militarisé (escadrille de bombardement B-5) se pose à Orly à 05h10 après le succès du premier raid d'un bombardier française sur Berlin et de nuit (équipage Comet, mécanicien Corneillet, pilote Daillière, mitrailleur Deschamp, radio Scour, co-pilote Yonnet). Pour l'occasion, l'avion était couvert de peinture noire pour être moins visible de nuit. L'avion fait un fuel stop avant de continuer sur Lanvéoc. Quelques heures après, Orly fût bombardé.
Départ de l'EGAN. DETAILS
Les allemands s'emparent du terrain. Une douzaine de canons de 88 anti-aériens sont installés. Une Tour de contrôle est construite ainsi que 2 pistes en herbe. Ils s'emparent des terrains limitrophes et agrandissent le terrain. Le camp acquiert un périmètre d'environ 18 kilomètres et s'étend au Nord jusqu'à la route départementale numéro 64 reliant Rungis à Orly; au Sud jusqu'au chemin vicinal numéro 1 reliant la route nationale 7 au vieux village d'Athis; à l'Ouest, en bordure de la RN7; à l'Est jusqu'aux premières maisons des communes d'Athis-Mons, Ablon, Villeneuve-Le-Roi et Orly.
Arrivée du Jagdgeschwader 54 Gruppe I (I./JG54 "Grünherz"). DETAILS
3 JU.88 de la KG51 décollent d'Orly entre 14h45 et 15h15 pour une mission de reconnaissance sur Bristol et attaque du port de Portishead. Début juillet 1940, le barrage de ballons commence à subir des dégâts et à subir des pertes lors d'attaques aériennes ennemies. Le 3 juillet 1940 à 17h15, trois Junkers Ju 88 du II / KG 51 basés à Orly près de Paris ont attaqué ce qu'ils ont identifié comme étant les installations du port de Portishead, où 12 ballons de barrage ont été identifiés. Le 92e Escadron à Avonmouth a toutefois signalé que des bombes avaient été larguées entre les sites 27/8 et le quartier général de vol 'C'. Les fenêtres ont été endommagées au siège et dans les baraques des sites 27/8 et 27/9. Plusieurs aviateurs ont été légèrement blessés par des éclats de verre et en se jetant par terre sur le site de la ferme Cowley.
Un JU.88 s'écrase à l'atterrissage. DETAILS
9 JU.88 de la I/KG51 décollent d'Orly à 22h00 ayant pour cible un dépôt de carburant à Avonmouth et Portishead. Portishead sera touché par 3 avions ainsi que des éclairages (du ciel) et des canons anti-aériens près de Bristol. 2 avions sont perdus.
Départ de l'escadrille Kampfgeschwader 51 Gruppe I (I./KG51). DETAILS
Un JU.88 de la Luftwaffe se crashe à l'atterrissage. DETAILS
Le soir, des JU.88 de la II./KG51 décollent d'Orly pour bombarder l'usine de Bristol Aeroplane Company à Filton (attaque de 22h à 23h40).
63 Junkers 88 quittent Melun, Orly et Etampes vers 11h30 pour bombarder le port de Portsmouth et le radar de Ventnor. Le Ju.88 9K+AA est abattu (pilote Fisser Johann Volkmar tué)
Arrivée du Kampfgeschwader 51 Gruppe II (II./KG51). DETAILS
Des JU.88 de la II/KG51 décollent d'Orly comme objectif Liverpool.
6 JU.88 de la II/KG51 décollent d'Orly ayant comme objectif Bristol (attaque de 22h15 à 23h15). 21 appareils (sur 31 déployés), partis de différents aérodromes français, participent à cette attaque. 3 bombes SC 500 (bombe explosive cylindrique de 500 kg), 10 bombes SC 250 (bombe explosive cylindrique de 250 kg) et 3 bombes Flam 250 (bombe incendiaire de 250 kg) sont largués par les Ju.88.
5 JU.88 de la II/KG51 décollent d'Orly comme objectif Bristol. Un total de 47 avions participent à cette attaque. 10 bombes SC 250 et 5 bombes Flam 250 sont largués par les Ju.88.
Départ du (Flak)-Regiment General Goering. DETAILS
Des Ju.88 décollent pour attaquer les usines de Brockworth. Le 9K+BH est abbatu par 2 Spitfire, l'équipage entier est tué (Gefriter Franz Stadelbauer, Unteroffizer Max Scholz, Unteroffizer Ernst Wilheln, Oberletnant Max Fabian).
Le Dornier Do.215B L2+KS (numéro 0060) décolle d'Orly à 11h00 pour une mission de reconnaissance sur Coventry et Birmingham. Il est abattu à 12h35 par 3 Hurricanes (F/Lt M. H. Brown, P/O A. V. Clowes and P/O A. Kershaw) près de St Neots (Angleterre). Pilote Lt Erwin Meyer, observateur Erhard Hofmann et opérateur radio Helmut Broening sont tués après avoir sauté, le mécanicien Maximillion Dorr est capturé. (source luftwaffelosses.com/Luftwaffe_Losses_Index/1940/24.10.1940-3.-Ob.d.L-Dornier-Do-215B-Wnr.0060-Lt-Meyer-Location-Behind-the-Crown-Inn-Eaton-Socon-Bedfordshire./)
Les JU.88 participent au bombardement de Londres.
Arrivée du Kampfgeschwader 51 Gruppe IV (IV./KG51). DETAILS
Le JU.88 2135 de la Luftwaffe se crashe à l'atterrissage et termine sa course dans le JU.88 882201. DETAILS
Le maréchal Hugo Sperrle décore des hommes de la KG51 de la Croix de fer dans l'un des hangars à dirigeable lors d'une parade.
A son retour d'Angleterre après un bombardement, le JU.88 numéro 0029 de la Luftwaffe atterrit en urgence avec un problème moteur, l'opérateur radio tué suite à une attaque de chasseur anglais. DETAILS
Les JU.88 participent au bombardement de Coventry.
10 JU.88 de la II/KG51 décollent d'Orly avec comme objectif Bristol (attaque de 21h39 à 22h20). 135 avions (sur 148 déployés), partis de plusieurs aérodromes français, participent à cette attaque. 15 bombes SC 500, 50 bombes SC 50 et 10 bombes Flam 250 sont largués par les Ju.88.
7 JU.88 de la II/KG51 décollent d'Orly comme objectif Bristol (attaque de 20h50 à 21h35). 67 avions (sur 80 déployés), partis de plusieurs aérodromes français, participent à cette attaque. 14 bombes SC 500 sont largués par les Ju.88.
Un JU.52 de la Luftwaffe se crashe à l'atterrissage (pilotes Herbet Hames / Martin Höhndorf). DETAILS
| HISTORIQUE | 1941 à 1944 |
Le JU.88 9K-FT de la Luftwaffe atterrit sur le ventre cause mauvaise météo (pilote Heinrich Höchstetter). DETAILS